==>RDV avec Miguel ( suite )

Elle hocha la tête , puis leva les yeux pendant un bref instant pour les redescendre . Elle allait tout lui expliquer ....peut etre serais ce plus clair ou peut etre plus compliqué ... elle commenca a raconter d'une voix etouffée ce qui s'etait passé .... "c'etait il y a quatre ans maintenant , c'etait un mercredi . Ce jour là cela faisait exactement deux mois qu'ils avaient quittés le Japon pour pouvoir retourner aux affaires de Madrid . Il faisait beau ce jour là ... elle se rappela de n'avoir jamais vu une aussi belle journée ...depusi quelques temps, on pouvait la voir plus renfermée, depusi qu'il etait rentrée du Japon ... personne ne savait ce qu'il s'etait passé pour qu'il y ai un grand changement en elle . Elle seule le savait . Ce jour là, elle avait été victime d'etre là quand il ne fallait pas .... elle avait traversé un couloir, elle avait oublié sa cravache et le palefrenier l'attendait pour la faire monter a sa lecon d'equitation . Elle avait entendu ce qu'elle n'aurait pas du entendre, la porte etait entrouverte, c'est comme cela qu'elle put les apercevoir, tous sauf un ....son oncle manquait a ses reunions interminales ou ils ne parlaient que d'industrie et de politique . Mais cette fois ci elle l'avait sentit c'etait different . Elle s'arrêta ne luttant plus contre sa curiosité et se mit a ecouter ....c'etait là son tort . Elle n'aurait pas du alors ecouter un complot, une manigance que les associés de son oncle, en qui il avait toute sa confiance , allaient lui preparer un coup bas pour pouvoir lui gruger une forte somme d'argent et comem cela le virer du marché industriel, et quand il serait detruit ..... ils pourraient donc reprendre l'industrie . Mais ils ne l'avaient pas oublié elle! C'etait a elle que reviendrait l'industrie ...c'etait une bonne raison pour la faire disparaitre dans d'etranges conditions ...ils avaient rit ...elle avait été epouvantée ... elle avait laissée echapper un cri, c'est ce qui fit la reperer des autres... ils s'etaient regarder l'air ebahi ...Dolores n'avait pas voulu en entendre d'avantage, il fallait qu'elle fuit . Ce fut son cousin , un cousin jeune et fou de 22 ans qui se proposa volontaire pour faire le sale travail ... il poursuivit Dolores et arriva dans l'ecurie où elle avait essayé de se cacher ... elle s'etait tenue tremblante , essayant de se cacher au mieux, sa cravache trouvée fermement dans sa main ... il l'avait repreré , elle l'avait regardé, tetanisée , les yeux horrifié, il s'avancait vers elle, avec un sourir sadique ... il s'avanca vers elle les mains prêtes a se refermer autour de son cou ... le meurtre aurait été evidemment du au palefrenier . Mais elle ne voulait pas mourir, pas maintenant, elle avait plongée de la paille . Il s'etait retrouvé les mains serrées sans rien dedans . Il avait juré, cracher pour retrouver sa cible, il avait aussi plongé dans la paille pour la maintenir au sol , il lui avait encerclé les poignet , la regardant , s'amusant de la voir essayer crier sans pouvoir tellement sa peur etait grande ...il n'avait pu supporter que ce fut elle qui allait reprendre l'industrie alors que lui, pendant toute sa vie avait oeuvré pour pouvoir l'avoir ... il se vengeait ... il aimait cette vengeance . Dolores le mordit, le griffa, mais il maintenait ses poignets fermement et la laissé se fatiguer pour qu'enfin il puisse gouter a sa vengeance .Il avait oublié ....il l'avait oublié, cette cravache tenue bien fermement dans la main de Dolores pour lui servir de defense en cas desesperé ...Elle la lanca de toute ses force dans le visage, la partie qu'elle atteignait le mieux de son cousin,lui lacerant toute la partie gauche. Il hural, deserra sa poigne sur ses poignets pour toucher de ses doigts la longue cicatrice ouverte . Il ne ressemblait plus a rien ... une partie de son visage etait defigurée ... Dolroes profita de ce cours repit pour pouvoir s'enfuir . Mais l'histoire ne s'arrêterait pas là ... En effet , suite a cet accident, qui etait pourtant de la defense , Dolores dut payer .Payer pour quelque chose qu'elle n'avait pas fait ou plutot si, mais pour preserver sa vie . Son oncle fut mit au courant de cet accident...par le cousin de Dolores lui même .Dolores aurait pu dire la verité mais elle se savait d'une defense faible par rapport a lui . On vint la chercher dans sa chambre ... elle devint blème ... qu'allait il se passer ? On la fit entrer dans la plus vaste pièce du chateau ...elle entra , ses pas retentirent sur le parquet luisant en damier ... elle avait peur , plus peur qu'elle ne l'avait jamais eut .. mais elle conservait la tete haute .Elle vit son oncle puis ... son cousin, un petit sourir aux lèvres celui ci semblait serein . Dolores ne put s'empêcher de le devisager en comtemplant muettement sa cicatrice ...elle ne l'avait pas raté, c'etait la preuve de sa haine. Elle se tourna ensuite vers le père de son cousin qui lui avait la mine renfrognée . Son oncle etait passé derrière elle ... elle retenait son souffle... Il lui exigea de prononcer des excuses . Interieurement Dolores bouillonait, lui demander des excuses a elle ? Non elle n'en dirait pas . C'est ce qu'elle fit, elle se tut . Mais on lui exigea une reponse elle la donna alors brulante de fierté:" non" . Tous trois s'en etonnèrent, "non"? qu'est ce que ca voulait dire ? On lui reposa la question, soupsconnant qu'elle ne l'avait pas comprise , mais la reponse fut la même . Trois fois de suite ce fut la même . Elle ne la changerait pas.Elle regarda les visages un par un , les voyant crispés par l'irritation ques ces reponses produisaient. Elle s'en ficahit, elle n'avait rien a se reproché . Le premier coup la plaqua contre les dalles . Elle tenta de se relever mais elle se fut suprendre par la dureté du deuxième coup s'abattant sur son dos . Elle se retourna et vit, presque semblable a sa cravache, le fouet s' abaisser sur elle ...elle se protegea de ses bras le visage . Elle se mit sur les genoux, comme pour echapper aux coups, mais un nouveau la cloua au sol, elle se mordit la lèvre pour ne pas crier. Non elel ne crierai pas! Elle ne donnerai pas cette satisfaction .Elle rampa sur le sol pour se redresser mais le fouet la frappa au milieu du dos ....son chemisier commencait a s'imbiber de rouge, elle souffrait, mais elle ne criait pas . On lui exigea des excuses elle ne repondit pas ...elle preferait encore les coups . Elle avait fait son choix . Les autres l'avaient compris, enfin surtout son oncle qui lui envoya des coups qui lui semblaient plus forts les un que les autres . Elle sentit son chemisier se dechirer, en effet les coutures craquèrent mais elle garda un bout de tissus pour cacher sa poitrine . Elle releva la tête qu'elel avait laissé baisser depuis le debut, et là, elle vit son cousin sourire au dechirement de son chemisier . Elle s'elanca de toute les forces qui lui restait sur lui .Elle avait levé son poigt vers lui comme si elle voulait le frapper . Mais elle n'eut pas le temsp de lui envoyer, le fouet s'attacha autour de son poignet , ravivant une douleur, jamais vraiment cicatrisée. Elle s'etait agenouillé, comme terrassée par cette douleur, puis sur les genoux on lui administra encore plusieurs coups . Le temps semblait ne pas s'ecouler, comme si le moment se figeait . Ce fut le père de son cousin , un autre oncle, qui pourtant avait semblé se fasciner pour cet etrange spectacle qui fut le premier a en mettre un terme . Le fouet ne s'abattit plus aux quelques paroles de satisfaction de cet autre oncle . Mais Dolores, bien qu'elle eut garder la tête baissée, sentait que cela ne suffisait pas a son cousin ...Pourtant il du se rendre a l'evidence que c'etait finit, réellement finit . Elle ne pouvait plus bouger, ni ramper au sol, sa respiration semblait lui dechirer la poitrine et elle regardait le sang s'ecouler sur le sol . Elle jeta un bref regard sur ses jambres zebrees et ne voulut pas voir l'etat de son dos . Less hommes la contournèrent, aucun d'eux n'allaient l'aider . Le regard de son cousin se porta sur elle avec mepris . Elle ne le vit pas . Ils la laissèrent là, a demie deshabillée , ils la laissèrent là de longues plaies sanginolants faisant des barreaux dans son dos et ses jambes sur la brillance du damier taché par ce rouge , ils la laissèrent là, avec une fierté intacte et ils la laissèrent là , aussi, avec un desir de vengeance brulant."
Elle avait finit, c'etait ce qu'il s'etait passé, elle avait essayé de le retranscrire au mieux , elle s'en souvenait comme si aucune années etaient passées entre .

La pluie continuait de tomber sur elle, elle semblait ne pas s'en apercevoir , elle regardait le sol avec son regard dur, impenetrable .

[gloups c 'est un peu long ]